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Fat City (Standard Edition) [Blu-ray] [2021] [Region Free]
Format: Blu-ray
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Genre | Drama |
Format | Blu-ray, Standard Edition |
Language | English |
Runtime | 1 hour and 36 minutes |
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Product description
John Huston's sombre but compassionate boxing drama is a criminally underseen late-career masterpiece from the great director. Peppered with outstanding performances this gritty yet affectionate look at the world of small-time boxing highlights a down-and-out fighter and a young up-and-comer, both moving through a world of seedy gyms and flop houses.
Product details
- Aspect Ratio : 1.85:1
- Language : English
- Product dimensions : 19 x 10 x 1 cm; 70 Grams
- Media Format : Blu-ray, Standard Edition
- Run time : 1 hour and 36 minutes
- Subtitles: : English
- Studio : Powerhouse Films
- ASIN : B08VYCJTKY
- Number of discs : 1
- Best Sellers Rank: 19,801 in Movies & TV (See Top 100 in Movies & TV)
- 15,111 in Movies (Movies & TV)
- Customer Reviews:
Customer reviews
4.5 out of 5 stars
4.5 out of 5
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CONTINENTAL OP
5.0 out of 5 stars
Absolute classic
Reviewed in the United Kingdom on 10 October 2018Verified Purchase
Yuh
One person found this helpful
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Dr. M. J. Dixon
5.0 out of 5 stars
Arrived on time.
Reviewed in the United Kingdom on 5 February 2021Verified Purchase
As advertised.

Carol Cass
5.0 out of 5 stars
Heartbreaking but credible study of how low human beings can be forced to go.
Reviewed in the United Kingdom on 25 July 2017Verified Purchase
Staggering movie. All human life is there. Tragic lives in desperate times. Amazing performances that tear your heart out.
2 people found this helpful
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G.C.O.van Gennep
5.0 out of 5 stars
A beautiful American Arthouse film
Reviewed in the United Kingdom on 8 February 2018Verified Purchase
A beautiful American Arthouse film, before the genre existed! wonderfully depressing en stark, the film does not try to please. Huston confidently does not give a damn.
One person found this helpful
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Stefy
5.0 out of 5 stars
Si t'y fataliste
Reviewed in France on 26 May 2017Verified Purchase
Le rapport entre la boxe et la cinéma, en Amérique, est fascinant. Et ce "Fat City" est une nouvelle fois une exemplaire démonstration du fait de s'emparer de ce sport pour saisir le cœur même de l'âme américaine. Ca ne vaut rien dire mais je me comprends: car le fait est que "Fat City", loin de n'être qu'un film sur la boxe, pointe du doigt comme rarement la lose dans toute sa splendeur (?) et il est difficile de mettre des mots là-dessus. Magie du cinéma, le film y parvient magistralement à un degré tel que tout commentaire devient superflu. Maintenant, donc, il faut voir ce film. John Huston filme magnifiquement, c'est un fait: tous les plans sont magistraux, les mouvements de caméras impeccables, et tout ça uniquement dans le but de servir l'histoire et de saisir au mieux les personnages. Si quelqu'un refaisait ce film de nos jours, désolé, mais le résultat serait beaucoup moins fluide et vrai, ce serait bourré de beaucoup trop de tics de langage cinématographique. De plus, la photo, là encore, est admirable. Beaucoup de plans sombres, dans l'obscurité, succèdent à d'autres trop lumineux, comme quand on sort de ce bar sordide en titubant et que la lumière crue et blanche vous cueille direct et vous éblouit, vous piquant les yeux. Quand elles ne sont pas trop fortes et criardes, les couleurs sont alors ternes, jaune pisseux, vert mortifère, blanc laiteux ou bleu qui dégueule. A ce niveau de communion entre la mise en scène, la photo et le montage, on peut dire qu'on tient là un très grand film et assurément un cas d'école. C'est limpide. Ajoutez à cela un casting en état de grâce: Stacy Keach dans son meilleur rôle, immense, un jeune Jeff Bridges impeccable et une extraordinaire Susan Tyrrell pour une performance hors du commun et réellement inoubliable. Le plus marrant, c'est que je suis persuadé que Sylvester Stallone a vu ce film. Et va en faire l'exact négatif (ou plutôt positif) quelques années plus tard avec "Rocky": là où Tully gagne son dernier match, en fait, il perd. Dans "Rocky", c'est exactement tout l'inverse: il perd aux points (aux poings ?) mais a, de fait, gagné. Là où "Rocky" est l'exaltation du rêve américain (et cartonnera au box-office), "Fat City" nous montre la lose totale, implacable, glauque, d'un pessimisme imputrescible car auquel on ne peut échapper. Et, bien sûr, "Fat City" ne marchera pas vraiment en salle. Trop déprimant, sans doute. Mais que dire de cette fin bouleversante, d'une simplicité éloquente mais qui dit tout (sans dialogue) ? L'une des plus belles fins de toute l'histoire du cinéma puisque elle nous montre, par l'image et le son, rien moins que le sentiment de fatalisme. Très fort et définitivement magnifique. Si ce n'était pas assez, le film est rythmé tout du long, du début à la fin, par la superbe chanson de Kris Kristofferson "Help Me Make It Through The Night", choix rien moins que parfait. Et, en plus, superbe édition Blu-ray avec un livre épatant de 200 pages assez éclairant et bourré d'infos. J'avais chopé ce film à la télé par hasard il y a plus de 20 ans, facile, et sa vision avait été un choc. Je continue à chérir cet immense film sisingulier. Du grand cinéma.