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Prokofiev: The Gambler (Blu-Ray)
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Genre | Music Video & Concerts |
Format | Blu-ray, Classical, Multiple Formats, NTSC, Widescreen |
Contributor | PROKOFIEV,SERGEI |
Language | French, German, English, Japanese, Russian |
Number of discs | 1 |
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Product description
A world renowned specialist in the music of Sergei Prokofiev, Valery Gergiev and his Mariinsky Orchestra and opera company have performed all of the composer's symphonies, concerti and operas on numerous occasions, both in St. Petersburg and on tour. This new video of Prokofiev's opera The Gambler, recorded and filmed in high-resolution at the historic Mariinsky Theatre in 2010, stars celebrated Russian tenor Vladimir Galuzin and bass Sergei Aleksashkin. Premiered in 1929 at the Theatre Royal de la Monnaie, Brussels, the opera was originally conceived for first performance at the Mariinsky Theatre, but it was postponed due to the Revolution in 1917. On this filmed version, Georgian director Temur Chkheidze (who directed the opera with critical success at the Metropolitan Opera in 2001) gives a fresh look to Prokofiev's first opera. The Gambler is a four-act opera that displays the dramatic highs and lows involved in the game of chance. All of the characters fall victim to the temptation of gambling, each one consumed by the obsession and greed that drives them.
Product details
- Aspect Ratio : 1.77:1
- Is Discontinued By Manufacturer : No
- Language : French, German, English, Japanese, Russian
- Product dimensions : 16.87 x 13.59 x 1.12 cm; 83.16 Grams
- Item Model Number : MARBD0540
- Media Format : Blu-ray, Classical, Multiple Formats, NTSC, Widescreen
- Run time : 2 hours and 35 minutes
- Release date : 21 June 2017
- Actors : PROKOFIEV,SERGEI
- Subtitles: : Russian, English, Japanese, German, French
- Studio : MARIINSKY
- ASIN : B00CD5J2PO
- Number of discs : 1
- Best Sellers Rank: 40,029 in Movies & TV (See Top 100 in Movies & TV)
- 10,000 in TV Shows (Movies & TV)
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Die Oper hat in der Anfangsphase eine gewisse "Zähigkeit", um sich aber Stück für Stück furios zu entwickeln.
Mit dem Auftritt der Babulenka beginnt die dramatische Schärfung der Handlung.
Das gesamte russische Sängerensemble überzeugt singschauspielerisch auf ganzer Linie.
Vladimir Galuzin ist Alexei. Larissa Dyadkova gestaltet die Babulenka exemplarisch überzeugend. Mit ihrem Auftritt beginnt die Zuspitzung des Geschehens.
Valery Gergiev dirigiert.
Insgesamt eine hervorragende Aufführung, bei der man die Entwicklung abwarten muß, bis sich nach ca. 20 Minuten, die Handlung kontinuierlich schärft.

Cependant, l'essentiel demeure : dans cette ville thermale entièrement dévouée à la table de jeu, les destins se croisent et les familles se déchirent autour d'héritages partant en fumée. Les personnages sont mécanisés et ont, pour la plupart, peu à chanter en dehors de lignes très mécaniques voire répétées.
Peut-on pour autant parler de chef d'oeuvre ? Non, car l'opéra est distendu et confus dans les premiers actes, comme s'il craignait de rentrer véritablement dans un sujet qu'il repousse : la table de jeu apparaîtra enfin au quatrième (et dernier) acte : trop tard pour permettre de montrer la destruction du personnage d'Alexei, mais la scène est une véritable réussite. Tout l'art mécaniste de Prokofiev s'incarne dans cette scène tournoyante où l'agitation extrême de la musique ne lui permet que de revenir au point de départ et aux interventions du croupier ("les jeux sont faits", en français dans le texte).
Il aurait fallu aussi une mise en scène qui se contentât d'un décor plus incarné que ce curieux pont rappelant les effets d'optique d'Escher. Et d'une direction d'acteurs véritable plutôt que d'attendre le dernier acte pour se reposer sur le talent de Vladimir Galouzine, rappelant dans sa folie le Jack Nicholson de Shining.
L'interprétation musicale, en revanche, approche la perfection : Vladimir Galouzine est un Alexei idéal, Tatiana Pavlovskaya est une Polina exemplaire et Larisa Dyadkova est hilarante en grand-mère bien décidée à ne pas laisser son argent en héritage (dommage que le rôle soit si court). Valery Gergiev est incontestablement un spécialiste de Prokofiev et hisse son orchestre du Mariinski à des sommets vertigineux : l'intermède du dernier acte est glaçant.
